De l’autre côté du miroir
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De l’autre côté du miroir
J'ai adoré cet article. Dans mon blog je me passionne pour les limites de la connaissance (voir mes articles). J'ai lu les oeuvres de Jean Charon et sa relativité complexe. Je trouve dans cet article un éclairage intéressant.
Dans son geste, l’acteur Keanu Reeves prend bien soin de laisser le spectateur lire le titre de l’ouvrage : Simulacra and Simulation.
La disquette qu’il extrait de ce livre-coffre est immédiatement cédé au personnage de Choi qui attend sur le pas de la porte, et dont la fiancée possède, sur l’épaule, un tatouage de lapin blanc.
Expérience du miroir de Kozyrev par Kirpitchnikov et collaborateurs
Contenu de l'article:
De l’autre côté du miroir est la suite du conte “Alice au Pays des Merveilles”. Le monde du miroir se présente comme un monde inversé. Ainsi Alice, pour atteindre le jardin, elle doit d’abord s’en éloigner, de même qu’il lui faut, dans cet univers étrange, courir très vite pour rester sur place. Si l’espace est mis à mal, le temps n’est pas non plus en reste. Il est ainsi possible de se souvenir du futur. La différence fondamentale entre Alice au pays des merveilles et De l’autre côté du miroir est que cette dernière œuvre montre chez l’héroïne une évolution incontestable : de pion, elle devient reine.
MATRIX : SUIS LE LAPIN BLANC …
Dans le film Matrix, c’est l’un des messages que reçoit Néo le “hacker”. Il le voit tatoué sur l’épaule de la petite copine de Choi.
A la huitième minute du premier Matrix, Thomas Anderson, le futur Neo s’empare d’un livre dont il a creusé les pages, et qui lui sert à camoufler des logiciels piratés.
Dans son geste, l’acteur Keanu Reeves prend bien soin de laisser le spectateur lire le titre de l’ouvrage : Simulacra and Simulation.
La disquette qu’il extrait de ce livre-coffre est immédiatement cédé au personnage de Choi qui attend sur le pas de la porte, et dont la fiancée possède, sur l’épaule, un tatouage de lapin blanc.
Second détail - d’importance : Le livre de Baudrillard n’a pas été ” creusé ” au hasard par le héros, mais précisément derrière la page de garde du chapitre ” Du Nihilisme “. (voir le dernier chapitre de cet article sur le 0)
Troisième détail - structurel : La disquette extraite du ” Nihilisme ” est directement remise au couple Choi-Dujour, où se trouve le tatouage du lapin blanc.
Quatrième détail - essentiel : Le lapin blanc, comme nous le verrons plus loin, n’est pas tant une invention d’écrivain qu’une invention de mathématicien recourant à la littérature pour prouver ses théories.
Il va la suivre et arriver au « fond du trou » où il rejoint Trinity. Morpheus le compare par la suite à Alice tombée dans le terrier du lapin qu’elle poursuivait. Et l’éveil de Néo se fait de « l’autre cote du miroir » titre de la suite des aventures d’Alice.
Outre la référence directe au lapin blanc, Andy et Larry Wachowski (Matrix) multiplient les indices rapprochant leur film de cette œuvre. Ainsi, quand Néo se « réveille » dans le monde réel, il tombe dans un tuyau interminable avant de tomber dans un lac souterrain de la même manière qu’Alice tombe dans l’interminable terrier vertical du lapin blanc. De plus dans la scène précédente, Néo observe son reflet dans le miroir et passe sa main « à travers » ce miroir. Or, le deuxième tome des aventures d’Alice s’intitule De l’autre côté du miroir. Le monde du miroir se présente comme un monde inversé ou l’espace et le temps sont déformés. Ainsi Alice, pour atteindre le jardin, doit-elle d’abord s’en éloigner, de même qu’il lui faut, dans cet univers étrange, courir très vite pour rester sur place. Si l’espace est mis à mal, le temps n’est pas non plus en reste. Il est ainsi possible de se souvenir du futur,
La différence fondamentale entre Alice au pays des merveilles et De l’autre côté du miroir est que cette dernière œuvre montre chez l’héroïne une évolution incontestable : de pion, elle devient reine.
L’un des aspects les plus frappants et les plus intéressants de l’œuvre est la manière dont elle joue avec le non-sens.
Certaines choses au delà du miroir échappent complètement à notre logique habituelle.
THEORIES DE JEAN CHARON
D’un point de vue scientifique, qu’y a t il de l’autre côté du miroir” pourrait on se demander.
D’un point de vue scientifique, qu’y a t il de l’autre côté du miroir” pourrait on se demander.
Revenons tout d’abord à la fameuse formule d’Einstein E = mc2 signifie que la masse d’un objet croît proportionnellement à son énergie. Il s’ensuit une relation exponentielle matière / énergie, dont le résultat est que la matrice de notre continuum ne saurait exister qu’à des vitesses inférieures à celle de la lumière.
Les chercheurs supposent là l’existence de particules nommées tachyons qui, théoriquement, ne pourraient exister qu’à des vitesses supra-luminiques.
La loi inverse, en somme. Les astrophysiciens nomment «horizon» la limite au-delà de laquelle aucun photon ne peut échapper à l’incommensurable attraction gravitationnelle d’un trou noir. A partir de cette limite, ni la relativité, ni la mécanique quantique ne peuvent expliquer ce qui peut se passer. Forcément : nous sommes de l’autre côté du miroir, interphase ou tout s’inverse.
Si l’on plonge au cœur de la matière, on s’aperçoit qu’elle est composée, aussi loin que l’on puisse explorer pour l’instant de petites «briques» fondamentales (quarks), dont tout le comportement tend à indiquer qu’elles sont elles-mêmes composées de phénomènes vibratoires qui, au lieu de s’étendre à tout l’espace, sont comprimés dans un champ restreint, une courbure de l’espace très accentuée. Ceci revient à dire que la matière elle-même est composée d’énergie. Que ce soit en physique relativiste ou quantique, nous ne pouvons qu’aboutir aux mêmes conclusions.
Le physicien Jean Charon postule l’existence, dans une sorte d’anti-continuum parallèle au nôtre, de l’autre côté d’un “horizon”, d’un “miroir”, l’existence d’une “onde psi” qu’il a baptisée “éon”, et qui serait dépositaire d’absolument toute la mémoire de tout ce que la particule rencontre au cours de ses pérégrinations à travers l’univers depuis sa création. Lorsqu’elle est associée à d’autres, il est logique de penser que, tout en gardant sa mémoire “personnelle”, elle va la communiquer aux autres et s’enrichir elle-même de la leur, de l’ “expérience” de toutes les autres ondes psi.
Au fait, savez-vous au juste de combien de ces particules ponctuelles un Etre Humain est composé ? Non ? moi non plus, ça me dépasse. Quelques milliards de milliards ? Davantage ? Il est hallucinant d’imaginer de combien de mémoires nous sommes tous dépositaires, combien d’informations de toutes sortes coexistent en nous sans que nous nous en rendions compte. Les ondes psi vont se mélanger et former une globalité à laquelle toutes les informations s’étendent.
Cette gigantesque collection de particules, possède une onde psi globale à la dimension humaine, réceptacle de toutes les mémoires antérieures à sa constitution ainsi que de celles qui sont imputables aux éléments marquants de sa vie. Il s’agit tout simplement de ce corps énergétique dont certaines parties nous sont accessibles : directement, grâce à des perceptions développées, ou indirectement, grâce à des instruments ou artefacts…
L’horizon des physiciens devient alors le miroir séparant notre conscient de nos inconscients, l’interphase atemporelle et locale. Jean Charon nomme Réel et Imaginaire ces deux réalités. Dans son livre Mes cellules se souviennent, Michel Larroche, appelle cela le « Réel Trivia l » et « Réel Imaginaire », car l’imaginaire module profondément nos comportements, et il est bon d’insister, justement, sur son côté bien réel.
Donc, d’un côté, on aurait un univers solide, matériel, palpable, et, de l’autre côté, un anti-univers, réservoir d’informations, d’archives, mémoire qui “expédie” au trivial des éléments qui l’influencent. Les deux, en rapport constant avec la phase trois doivent à tout instant s’harmoniser, s’aligner l’un sur l’autre.
II serait long de présenter tous les modèles qui convergent vers cette idée de deux univers coexistants et échangeant des informations à travers une interphase.. Au fond, malgré des divergences apparentes, ils sont tous tendus vers la même vérité qui les englobe tous. Toutes les approches sont valables, représentant les différentes facettes d’une Réalité plus vaste.
Les équations des différents modèles physiques nous montrent qu’aucune matière ne peut exister au-delà de la vitesse de la lumière, qui constitue une limite absolue.
Cependant, on suppose actuellement l’existence du tachyon, particule qui théoriquement, ne peut exister qu’à cette frontière, cet horizon représente une interphase
entre :
* une phase 1, ou espace-temps positif contenant notre monde physique : matière et phénomènes vibratoires mesurables par une instrumentation.
* une phase 2, ou espace-temps négatif, recelant une «matière» et des vibrations hors de notre champ de perception, au-delà de notre détection instrumentale.
D’autres modèles proposent plutôt le diagramme suivant plus complet :
Il y aurait donc des particules «remontant le temps», les tachyons, qui expliqueraient notamment le caractère instantané de la pêche aux informations effectuée lorsque nous faisons appel à nos mémoires que nous matérialisons par nos réactions et nos réalisations dès lors qu’elles passent de l’autre côté du miroir, et cette rapidité de remontée de la ligne du temps lorsque nous recherchons un souvenir de notre passé. Y a-t-il relation étroite entre cette théorie physique et les réponses instantanées de nos comportements ou n’est-ce qu’un simple parallèle permettant une description plus imagée ? Corrélation ou coïncidence ?
De l’autre côté du miroir, dans l’espace-temps négatif, des champs d’énergie stockent l’information de tout ce qu’a rencontré, connu, éprouvé la particule, seule ou alliée à d’autres dans un ensemble l’englobant, le champ d’énergie se globalisant pour échanger toutes les mémoires de tous ses éléments de base. Collection de particules, nous suivons le même processus, et ne pouvons que fonctionner de manière identique à celle de nos composants.
Ce qui est remarquable, c’est que la physique ne peut, dès lors, exister sans la métaphysique : meta, en grec, signifie «avec». Elles deviennent inséparables.
Cette frappante ressemblance entre cette synthèse des modèles physiques et ce qui se passe en nous
LE MIROIR DE RIEMANN OU LA MODELISATION MATHEMATIQUE DE L’IMAGINAIRE
En 1859, Riemann, professeur à Göttingen, publie un article Sur les nombres premiers inférieurs à une grandeur donnée. Il redéfinit une fonction appelée “‘fonction zêta” qui offrait à Riemann un “miroir” dans lequel le chaos apparent des nombres premiers s’ordonnait. Son hypothèse sur les zéros non triviaux de la fonction zêta.
Riemann réussit le tour de force de produire un graphe en 4 dimensions permettant ainsi de décrire le nombre “imaginaire” produit par la fonction. Le graphe ne peut représenter que l’ombre tridimensionnelle d’un paysage à quatre dimensions. Les « paysages » que « voient » les mathématiciens lorsqu’ils se représentent la fonction zêta en quatre dimensions sont fabuleux. Ce graphe en 4D définit alors un véritable paysage imaginaire ayant une topographie déconcertante. Il révèle un “réel” totalement inattendu, appelé paysage Zeta de Riemann, une sorte d’hologramme ou n’importe quelle petite région peut permettre de reconstituer l’ensemble…
MIROIR DE KOZYREV ET DISTORTION DU CONTINUUM ESPACE TEMPS
Les scientifiques ont expérimenté avec des “miroirs” Kozyrev (il ne s’agit pas d’un vrai miroir) mais un système de plaques d’aluminium concave. Ils y auraient vu des images du passé très lointain de l’humanité. Ces images apparaissent surtout pendant des périodes de perturbations électromagnétiques. Un autre chercheur, Trofimov a expérimenté ce procédé.
Leurs expériences impliquent une conception de l’univers différente du continuum espace-temps d’Einstein. Kaznatcheyev et Trofimov se réfèrent en particulier aux travaux de l’astrophysicien Nicolas Kozyrev (mort en 1983), reconnu internationalement par ses pairs et auquel l’ouvrage cité en début d’article consacrait un chapitre. Cette recherche d’un nouveau modèle de l’univers rejoint différentes hypothèses sur la structure du monde émises ces dernières années par des scientifiques qui essaient de rendre compte de différents phénomènes ne pouvant être intégrés dans l’univers einsteinien.
Les chercheurs russes avancent l’hypothèse d’un « espace vivant », un champ informationnel dont l’énergie-temps n’est qu’une propriété qui ne se propage pas, mais surgit partout instantanément. Le champ informationnel serait le vecteur de l’interaction entre les phénomènes du cosmos dont la communication « naturelle » à distance est un exemple ; la nature de l’ énergie-temps permettrait l’ instantanéité des interactions dans l’espace, alors qu’une progression inversée du temps, comme notre monde réfléchi dans une glace, serait à l’origine des cas d’anticipation du temps.
Il a dit que quand ils ‘approchait de ces miroirs justement pendant les périodes de perturbations électromagnétique, l’espace s’est ouvert et il a de nombreux symboles et signes qui s’anime, ressemblant à des enseignes lumineuses en néon.
“Au début nous pensons que c’était un message extra-terrestre” dit Trofimov. Mais après nous avons compris que la plupart de ces signes correspondent à l’antique culture sumérienne. C’était un moment du passé qui a traversé le temps pour arriver jusqu’à nous” dit il.
Ce moment n’était pas unique. En 1997 les scientifiques de Novosibirsk on fait des expériences avec ce systèmes de plaque d’aluminium concave, avec les anglais, à Stonehenge,. Pendant ces expériences, plus de 200 personnes ont pu apercevoir ce type de signes semblables à ceux qu’ils avaient vu auparavant ainsi que d’autres signes inconnus. (plus de 70 signes inconnus)
Expérience du miroir de Kozyrev par Kirpitchnikov et collaborateurs
Personnes ne pouvait expliquer ce phénomène. Il y a très peu de temps, un scientifique de Novosibirsk, Mr Kirpitchnikov a démontré le modèle du temps permettant d’expliquer le principe du miroir de Kozyrev et le principe de l’espace-temps. Suivant ce principe il a créé son propre miroir basé sur celui de Kozyrev.
Dans le but de prouver sa théorie sur l’espace temps Kozyrev a également procédé a une autre expérience étrange. Il a obturé l’objectif d’un télescope avec un plaque métallique, il a prouvé qu’un rayonnement d’une étoile transperçait la plaque métallique pour agir sur des levure en culture qui réagissaient spontanément à ce rayonnement qui selon lui allait plus vite que la lumière ce qui contredisait le postulat d’Einstein.
La nature du temps est très complexe, il semblerait que le temps est corrélé avec des objets électromagnétiques. Le temps prend cette énergie, de la même manière qu’un objet physique est capable de capter et renvoyer cette énergie.
Différents composants du temps communique avec des objets qui possèdent leurs propres champs électromagnétiques.
Le temps existe sur différentes couche comme plusieurs enregistrement sur une cassette vidéo. Sur une couche l’évènement est passé et sur l’autre cet évènement est en train de se produire. C’est ainsi qu’on peut avoir l’information du passé.
Kirpitchnikov a fait une autre expérience, A Akademgorodok, en Russie, dans la zone dite “zone X”, a pris des photos d’enfants prises dans ce lieu. Sur le négatif sont apparus des gens inconnus.
Il a développé un système d’équation qui permettrait la construction de machine a voyage dans le temps.
Selon un autre scientifique Biélorusse Veinik de l’académie des sciences, les fissures dans le miroir ainsi que les angles cassé, courberaient l’espace temps et provoquerait des “poltergeist” en créant des vortex vers un autre espace temps. L’autre monde, le monde parallèle et le notre commencerait à communiquer ce qui permettrait à cette connexion de se faire. Comme les deux monde, leur champ physique, ne peuvent pas communiquer à travers les vortex, ne peuvent pas se toucher cela produirait ces effets.
Selon ce scientifique le miroir prend le “négatif” et nous le rend multiplié, ce qu’il faut éviter ( !). Cela provoque le vieillissement et les maladies.
Dans l’ancienne traditions de Russie, on dit que le miroir est le “cadeau de satan”. Yvan le terrible croyant en ces phénomène et a fait en sorte que les miroirs pour lui et sa femme sois crées par des artisans aveugles.
Selon lui actuellement on utilise beaucoup en magie des miroirs de type miroir de Kozyrev, en aluminium recouvert de peinture noire. Cela permettrait d’additionner les pouvoirs. Il absorbe beaucoup de lumière et reflète l’énergie fine. La surface concave les maintiennent en forme (ces énergies fines).
Quand on regarde ce miroir recouvert de peinture noire brillante (qui reflète quand même) il absorbe de la lumière. Ca ouvre la vision du passé, d’un autre temps, d’un futur. Ils commencent à voir des “extra terrestres”, des objets étranges.
Selon ce scientifique, le pouvoir de voir le futur ou le passé grâce à la tache jaune de l’œil (fovéa) ce qui provoquerait ces fameux “flash” en voyance. (ndlr peut être parce que le fond de l’oeil est concave et noir ???). Mais il précise que c’est très “dangereux” de faire cette expérience car cela peut renvoyer trop de visions négatives en même temps ce que l’œil ne pourrait pas supporter…
LE PRINCIPE DU REVERBERATIONISME SELON LES VOYAGEURS DE L’ESPACE TEMPS
Selon les “entités” dites Voyageurs de l’Espace Temps (V.E.T) en relation avec Jean Claude Pantel (dont il serait trop long de détailler ici le vécu mais je vous renvoie au site Jantel.org), le vécu trouve son essence dans le Réverbérationisme post originel. C’est cette réverbération permettrait au flux existentialisateur de se manifester. C’est ce qui permettrait à l’informationnel de se matérialiser (ce que les V.E.T on nommé principe de géométrisation).
Selon les “entités” dites Voyageurs de l’Espace Temps (V.E.T) en relation avec Jean Claude Pantel (dont il serait trop long de détailler ici le vécu mais je vous renvoie au site Jantel.org), le vécu trouve son essence dans le Réverbérationisme post originel. C’est cette réverbération permettrait au flux existentialisateur de se manifester. C’est ce qui permettrait à l’informationnel de se matérialiser (ce que les V.E.T on nommé principe de géométrisation).
citons Dany et Karzenstein sur le principe de réverbérationisme.
Le « subi » se révèle selon le qualitatif initial imprimé dans le réverbérationnisme postoriginel, au gré des flux existentialisateurs, c’est-à-dire au gré des flux appelés à se percuter, donc à concevoir l’astatisme nécessaire à toute « matérialisation » de l’informationnel. (Dany 30 mars 2002)
Une piste nous est donné plus tard par Karzenstein :
“le réverbérationnisme initial procède à l’élaboration du courant initial sous la forme de faisceaux tubulaires qui, en désuperposition, constituent ces flux directionnels et dont il n’est pas vain de rappeler au passage que d’aucuns se veulent contrôlables…” (3 décembre 2004 Karzenstein)
“le réverbérationnisme initial procède à l’élaboration du courant initial sous la forme de faisceaux tubulaires qui, en désuperposition, constituent ces flux directionnels et dont il n’est pas vain de rappeler au passage que d’aucuns se veulent contrôlables…” (3 décembre 2004 Karzenstein)
Le réverbérationisme serait (selon mon interprétation) le principe de communication entre ce que l’on pourrait appeler Monde et Anti-monde qui créerait ce courant existentialisateur au niveau spatio-temporel.
Un autre V.E.T, Jadöpher va même plus loin dans l’explication du réverbérationisme l’appliquant à notre propre personne : “Cette restructuration s’applique bien sûr au gré des flux, aussi bien dans son état originel, que vous savez être le “spécifisme”, que dans les fonctions (agissements, gestes et actes) figurant les effets du réverbérationnisme entre chaque support existentiel (en l’Espace situé) et les ambiants (par le Temps déployés). (Jadöpher 2 mars 2006)
Il peut être intéressant de rapprocher cette théorie de révérbérationiste de celle de JP Garnier Mallet sur le phénomène de double et de projection temporelle inconsciente de ce double en vue de récupérer de l’informationnel comme nous l’avons déjà développé dans un précédent article. Dans ce cas on peur considérer que le double existerait en parallèle au delà du miroir.
Il peut être intéressant de rapprocher cette théorie de révérbérationiste de celle de JP Garnier Mallet sur le phénomène de double et de projection temporelle inconsciente de ce double en vue de récupérer de l’informationnel comme nous l’avons déjà développé dans un précédent article. Dans ce cas on peur considérer que le double existerait en parallèle au delà du miroir.
LE “ZERO” MIROIR DE L’UNIVERS ?
Passer de l’autre côté du miroir c’est se demander si le vide est vraiment vide ou si il est rempli d’autre chose. Le zero serait il le lien, la clé entre un monde et l’autre.
C’est toucher du doigt le principe même de la conscience qui serait en dehors de la matière. Il faut revenir à la définition du Zéro, le Zéro représente purement et simplement l’absence de toute quantité, car une quantité qui serait moindre que rien est proprement inconcevable.» C’est « rien » ! La Manifestation naît du vide, du rien ! Chez les Babyloniens, zéro « ne fut jamais conçu comme un nombre : synonyme de “vide” seulement, il ne correspondit jamais au sens de la “quantité nulle” .
Les Nombres sont « Causes » de l’apparition des formes et le zéro, le vide, recristallise chaque chose en l’unifiant dans la Source de toute chose.
Le vide est plein de tous les possibles.
« A l’origine, il y a le Rien (wu) ;
Le rien n’a point de nom.
Du Rien est né l’Un ;
L’Un n’a point de forme. »
Toutes les traditions authentiques maintiennent la même vérité. Celle des Peuples nomades du Mali enseigne : « Avant la création du monde, avant le commencement de toute chose, il n’y avait rien, sinon UN ÊTRE. Cet Être était un Vide sans nom et sans limite, mais c’était un Vide vivant, couvant potentiellement en lui la somme de toutes les existences possibles.»
En Orient, la Manifestation est Illusion, Maya. Celle-ci est « l’interprétation et les concepts que donnent une civilisation, une culture, une religion, tous conditionnements inhérents à l’incarnation en un lieu et un temps donnés » « Maya est l’illusion qui prend ces concepts pour la réalité, qui confond la carte avec le territoire
Selon Ludwig Wittgenstein : «La solution de l’énigme de la vie dans l’espace et le temps se trouve hors de l’espace et du temps».
Et de l’autre côté du miroir d’Alice se termine ainsi “Sur l’eau calme voguant sans trêve… Dans l’éclat du jour qui s’achève…Qu’est notre vie, sinon un rêve ? ” Lewis Carroll
* de son titre original Through the Looking-Glass, est un roman écrit par Lewis Carroll en 1871
Michel Larroche - Mes cellules se souviennent
http://mathematiques.energie-manifestee.net/wakka.php?wiki=LeMiroirDeRiemann
http://www.nouvellescles.com/article.php3?id_article=83
http://www.ufolog.ru/articles/detail.aspx?id=3300
http://www.inomir.ru/magick/others/56529.html
http://www.jantel.org/spip.php?article247
http://www.neotrouve.com/?p=94
Réveille toi, Neo, c’est un rêve !
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