La grande hypothèse.1) "le hasard existe-t-il?"
Réécrit le 09/02/2018
et 30/03/2021
[Grishka BOGDANOFF interviewe Albert SLOSMAN à propos des prophéties de NOSTRADAMUS (texte complet et extraits) et leurs interprétations récentes, notamment celles de la famille FONTBRUNE. L'interview est ponctuée de banc titres des couvertures des ouvrages suivants : "Les prophéties de maître Michel Nostradamus" du docteur de FONTBRUNE, "Nostradamus historien et prophète" de Jean Charles de FONTBRUNE, "Nostradamus trahi" d'Elisabeth BELLECOUR]
Beaucoup de grands mythes de l'humanité et la bible font référence au mythe du déluge. Je le rapproche du mythe de l'Atlantide qui représente beaucoup pour moi. Je l'ai redécouvert en lisant des livres d'Albert Slosman dans la collection "Les Portes de l'étrange" chez Robert Lafont
Tous les livres d'Albert Slosman:
1995 "Moise l'égyptien"
1990 "Le zodiaque de Dendérah"
1983 "L'astronomie selon les égyptiens"
1982 "La Grande Hypothèse"
1980 "Le biblion de Pythagore"
1980 "Et Dieu ressuscita Dendérah"
1979 "Le Livre de l'au-delà de la vie"
1979 "La vie extraordinaire de Pythagore"
1978 "Les survivants de l'Atlantide"
1976 "Le Grand cataclysme"
Dix livres étaient prévus après Moîse l'Egyptien, mais cette série a été interrompue par la mort de Slosman en 1981. Le dernier livre qu'il avait prévu devait s'intituler l'Eternité n'appartient qu'à Dieu. Ces ouvrages sont à l'origine de ma réflexion, mais j'ai découvert aussi Anton Parks qui évoque les mêmes sujets. Selon Anton Parks, les tablettes sumériennes de Kharsag, qui dateraient de plus de 5 000 ans, ont inspiré les rédacteurs du Livre de la Genèse6. Quant au Nouveau Testament, il recèlerait une importante sémantique égyptienne liée à Osiris, Isis et Horus (voir aussi Anton park facebook).
1995 "Moise l'égyptien"
1990 "Le zodiaque de Dendérah"
1983 "L'astronomie selon les égyptiens"
1982 "La Grande Hypothèse"
1980 "Le biblion de Pythagore"
1980 "Et Dieu ressuscita Dendérah"
1979 "Le Livre de l'au-delà de la vie"
1979 "La vie extraordinaire de Pythagore"
1978 "Les survivants de l'Atlantide"
1976 "Le Grand cataclysme"
Dix livres étaient prévus après Moîse l'Egyptien, mais cette série a été interrompue par la mort de Slosman en 1981. Le dernier livre qu'il avait prévu devait s'intituler l'Eternité n'appartient qu'à Dieu. Ces ouvrages sont à l'origine de ma réflexion, mais j'ai découvert aussi Anton Parks qui évoque les mêmes sujets. Selon Anton Parks, les tablettes sumériennes de Kharsag, qui dateraient de plus de 5 000 ans, ont inspiré les rédacteurs du Livre de la Genèse6. Quant au Nouveau Testament, il recèlerait une importante sémantique égyptienne liée à Osiris, Isis et Horus (voir aussi Anton park facebook).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Isis Isis allaitant Horus
Ma lecture de "La grande hypothèse" va porter surtout sur le grand cataclysme qui est sans doute une autre façon de voir le Déluge de la Bible. Je crois que tous les grands mythes de l'humanité parlent de ce qui a dû être une catastrophe naturelle que la terre aurait subi il y a 12 000 ans selon Slosman. Les 3 grandes pyramides d'Egypte et le Sphinx seraient selon lui un témoignage des survivants de ce événement à l'adresse des générations futures et un avertissement qui a un écho particulier aujourd'hui où on parle de plus en plus de fin du monde. L'émission de la chaîne 4 (2012 conspiration de l'apocalypse) est significative à cet égard.
De "la grande hypothèse", le Figaro écrivait alors: la "construction qui s'accomplit devant nous est peut être un des événements de notre temps". Et Slosman le définissait ainsi: "c'était en définitive u ne histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'éternel était Yahvé, mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures! A chaque ère céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".
Cette oeuvre d’Albert Slosman aurait dû être, sous la dénomination générique « L’éternité n’appartient qu’à Dieu ».
1) Le Grand Cataclysme (paru en 1976).
2) Les survivants de l’Atlantide (paru en 1978).
3) Et Dieu ressuscita à Dendérah (paru en 1980).
B) LA TRILOGIE DU PASSE.
1) Moîse l’Egyptien (paru en 1981).
2) Akhenaton, le Divin mortel (non paru).
3) Et Dieu oublia l’Egypte (non paru).
C) LA TRILOGIE DU FUTUR.
1) Jésus le Christ (non paru).
2) L’Apocalypse de la 8ème vision (non paru).
3) L’éternité n’appartient qu’à Dieu (non paru).
D) LA TETRALOGIE DU SAVOIR.
1) l’Astronomie selon les Egyptiens en PDF:
2) Les Mathématiques selon les Egyptiens (non paru).
3) La Médecine selon les Egyptiens (non paru).
4) L’Evangile selon les Egyptiens (non paru).
|
"C'est une Histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'Eternel était Yahvé mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moise, d'Abraham, mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique Créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures. A chaque être céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie". Albert Slosman
Sommaire de mes messages:
11-b) Pour notre temps
http://secretebase.free.fr/complots/zodiac/denderah/denderah.htm (LE SECRET DU TEMPLE D'HATHORLa Porte des Etoiles et le Message des Dieux LE ZODIAQUE DE DENDERAH)
Le hasard existe t-il? france culture avec Jean Claude Amesein, Etienne Klein...
LA GRANDE HYPOTHESE 1) "le hasard existe-t-il?"
Il avait dit à son éditeur, Robert Laffont, que les deux ou trois prochaines années permettraient d'apporter à sa théorie deux confirmations concrètes. mais le destin n'en n'a pas décidé ainsi.
Il était persuadé que si Champollion avait découvert la clé du déchiffrage des hiéroglyphes, il était mort trop tôt pour mener son oeuvre à son terme et qu'ainsi des erreurs d'interprétation s'étaient produites et retransmises sans qu'il put être question de les rectifier de nos jours parce qu'elles s'étaient officialisées. Son oeuvre est donc basée sur une interprétation personnelle de l'écriture Egyptienne. Il pensait que l'informatique permettrait de résoudre les données de ce problème et travaillait sur l'établissement d'un programme informatique qui devait apporter une justification concrète à ses théories.
Son affirmation du rôle essentiel de Dendérah comme le point de départ de la nouvelle ère monothéiste s'appuyait sur la certitude de l'importance archéologique de ce site qui comportait, d'après lui, entre monuments de la plus haute antiquité enfouis sous les ruines actuelles et non encore explorées, le fameux labyrinthe, haut lieu de la science Egyptienne. La découverte de l'emplacement de Troie par Heinrich Schlieman relevait bien de l'utopie jusqu'au jour où ses contradicteurs furent confondus.
Albert Slosman commence son oeuvre par le chapitre "le hasard existe-t-il"?
L'histoire commence au Maroc. Il avait 22 ans. C'était après toutes les aventures difficiles qu'il avait vécues pendant l'occupation et que nous évoquerons dans l'article 2: Le destin s'écrit-il aussi? (Avec le Général von Stülpnagel et dans l'article 3: Le destin s'écrit-il aussi? - à Ta Ouz) Il se trouvait avec un vieux pasteur indigène Africain à la retraite, à plus de 4000m, d'altitude, au niveau de l'équateur, dans ce qui à cette époque, en 1948, était encore le Cameroun Anglais. Je reproduis ici, presque in extenso ce dialogue qui va introduire la suite de mes articles.
"-Tu es assis sur ce qui était naguère la demeure de Dieu, Albert. Ton regard domine l'éternité du Grand Architecte de l'Univers...
-La demeure de Dieu? Je ne comprends pas?
-Tu ne peux pas comprendre, car aujourd'hui seuls les derniers enfants de l'antique tribu des Fakos connaissent cette vérité qui représente la première page d'histoire d'humanité. Cette montagne, au sommet duquel nous sommes aujourd'hui, le mont Cameroun, comme un grand transatlantique de lave et de feu, au sommet duquel nous sommes aujourd'hui mesure environ 4000 mètres. Mais il y a bien longtemps, elle avait plus du double de hauteur: c'était le seul endroit du monde qui pouvait toucher le ciel! "Fako", qui est le nom de ce sommet, le mont Cameroun (Le point culminant de la montagne est le Fako, un cratère volcanique aussi appelé Manga-ma-Loba, Mongo-ma-Loba, Mungo-ma-Loba ou Mongo-ma-Lobo en bakweri ce qui signifie en français « montagne du Tonnerre ». En dialecte Douala, veut dire "sorcier"... Il avait plus de 10 000 mètres alors, dit le vieux compagnon de Slosman, et c'était de cet endroit que Dieu rendait se justice. Il était le Créateur de toutes choses et il punissait ou récompensait ses créatures sans distinction, selon qu'elles obéissaient ou enfreignaient ses Lois...
-Mais Dieu n'était pas un sorcier tout de même?
-Certes non, mais un jour, dans une sainte colère dont il a le secret, Dieu décida de punir l'ensemble des humains devenus des impies et les pires des mécréants insensés [...] Toute la terre se mit à trembler, et il y eut un grand, un très grand cataclysme qui engloutit presque entièrement un immense continent qui était situé au Nord-Ouest de l'endroit où nous nous trouvons. Ton regard aurait pu imaginer la vision des toits dorés de ses villes au bout de l'horizon, si cette mer de nuages en furie ne limitait pas notre vue à cette seule splendeur naturelle.
-Mais cela n'est écrit nulle part!...
-Non! Parce que le destin ne peut pas s'écrire: il se raconte. Il se transmet de génération en génération sur toutes les parties de la terre, devenant des légendes issues de cette Vérité que je viens de t'énoncer et qui constitue le passé.
-Qu'advint-il ensuite, puisqu'il y a toujours des humains?
-Dieu, dans sa clémence, décida de donner une nouvelle chance aux survivants du désastre en leur permettant de survivre dans un autre environnement où le soleil n'était plus à la même place. Mais pour montrer qu'il n'accordait encore aucun pardon, il fit exploser sa demeure qui s'engloutit à son tour, mais en partie seulement, pour que personne n'oublie que Dieu est Dieu. C'est pourquoi cette montagne a seulement 4000 mètres aujourd'hui. Mais tu sais que juste en face, il y a l'île de Fernando Poo. Elle a surgi de la mer à ce moment-là, élevant une seule montagne jusqu'à plus de 3 000 mètres! Et Dieu repartit au ciel en l'attente du jour du jugement dernier: celui où l'humanité devra rendre ses comptes!
-Cela est passionnant! Il y a quelques années déjà, Mme Odette Micheli déléguée de la Croix-Rouge suisse (voir 12 Odette Micheli, Aperçu sur l’activité de la Croix-Rouge suisse secours aux enfants en France 19421) pour laquelle je travaillais m'avait parlé de semblables événements. Mais ils avaient trait à des récits racontés sur des papyrus Egyptiens.
-L'Egypte a été une très grande nation il y bien longtemps Albert. Nul doute que les survivants de ce cataclysme dont je t'ai parlé y soient parvenus. Je n'ai pas eu le temps d'étudier cette religion durant mes classes en Allemagne.et en France et à présent je suis trop vieux! Mais toi tu le feras!...
J'éclatais de rire.
-Il faudrait un tel hasard pour que cela sa produise qu'il me semble qu'il n'y a pas une chance sur un million...
-Tu es très jeune. Ton avenir est devant toi et non derrière. Quant au hasard, je te prouverai un autre jour qu'il n'existe pas.
Cette phrase me laissa songeur car toutes mes jeunes années avaient été telles queje m'étais déjà posé cette angoissante question: "Le hasard existe-t-il?" Comme en réponse, la voix de mon vieux compagnon me parvint, mêlée au vent:
-Comprends-tu que ce n'est pas un simple hasard qui t'a poussé vers ce pays, Albert?
-Pas très bien, et les malheurs que j'ai eu jusqu'à présent ne sont pas faits pour m'éclaircir les idées sur ce problème épineux. Pourtant, c'est moi qui ai librement choisi de venir de ce côté du monde plutôt que d'aller en Amérique ou en Asie.
-Il y avait une raison précise à cela.
-Laquelle?
-Tu la découvriras toi-même lorsque tu y parviendras, mais probablement après bien des recherches et des déceptions [...]. J'espère que non! Pourtant, je me souviens que, lorsque j'ai choisi de venir au Cameroun, j'ai dévoré tous les livres qui en parlaient, y compris ceux du voyage de Hannon le navigateur (le roi de Carthage).
Qui est-ce?
-C'était un navigateur carthaginoix qui voyagea six siècles avant le Christ. Il a décrit un récit de son périple, où il parle de l'éruption d'un gigantesque volcan, au fond d'un golfe qui serait précisément celui au fond duquel est construit Douala (voir ce site: c'est d'ailleurs le carthaginois Hannon qui décrit ce volcan en 450 avant JC ...)
-Je n'en n'ai pas entendu parler, mais cela est intéressant. Lorsque nous redescendrons, pense à le demander à la bibliothèque de la mission pour moi. Le livre doit certainement s'y trouver.
-Je le ferai; mais si j'ai lu ce texte à Paris, il n'y a là qu'un hasard. Il n'a pas eu d'influence sur ma décision de venir ici. Je reste sceptique.
-C'est donc que le moment n'est pas encore arrivé, fils. Le hasard n'existe pas, tu le comprendras le moment venu, car tu as une mission à remplir ici-bas.
-Au Cameroun?
-Seul Dieu pourrait le dire; et Il n'est plus dans cette Demeure...
-Qu'il est bien difficile d'acquérir quelques connaissances!
-Il faut du temps, beaucoup de patience, et encore plus d'ouverture à la sagesse,. Car pour que le monde reste notre monde, Il faut que l'humanité s'assagisse.
-Sinon?
-Sinon, elle courra à sa perte. D'ailleurs elle a déjà commencé, car la guerre qui vient de s'achever n'est que le prélude indispensable à celle qui suivra!
....Slosman poursuit: "Nous dialoguions en toute sérénité malgré les éléments déchaînés, attendant que la nuit tombe. Je contemplai en contrebas la mer de nuages qui rendait cette scène extravagante, encore plus irréelle que la nature ne la créait. que de questions je me posais: étais-je en état de devenir un surhomme, ou bien un sous-doué? Je me sentais bien incapable de répondre.
A cette époque lointaine, qui avait été l'un des points forts de mon existence, j'avais 22 ans et mon compagnon était quant à lui, d'un âge indéfinissable, probablement plus du quadruple du mien.Nous trouvions à plus de 4 000 mètres d'altitude; Très exactement sur l'équateur africain! Certes, cette situation peut apparaître tout à fait banale en 1981 (date à laquelle il écrit ces lignes), mais elle ne l'était certainement pas en 1948 sur le sommet du Fako, culminant à 4170 mètres, dans ce qui était encore à cette époque le Cameroun anglais.
Le vieil homme était un pasteur indigène, à la retraite depuis un certain nombre d'années. [...] Etant arrivé dans ce pays avec ce qui m'apparaissait comme une sorte d'auréole, à la fois saint et martyr ayant 20 ans, je me rends compte aujourd'hui que pur certains je devais apparaître doué surtout d'une bêtise incommensurable! Mais d'autres, comme cet être extraordinaire qui me tenait compagnie, avaient aperçu au-delà de mon ridicule une prédestination à jouer un rôle important dans des phases vitales d'un futur encore indéterminé à cette époque, auquel je serais mêlé. [...] Je me rendais cependant compte que les événements passés, ceux qui avaient marqué ma jeune existence, (pendant la période de l'occupation avec la croix-rouge suisse entre autres et que nous évoquerons dans l'article 2: Le destin s'écrit-il aussi?) n'étaient pas dus à de simples hasards plus ou moins heureux. Mais je me posais encore cette question: "Le hasard existe-t-il?" Et cette terminologie d'un "hasard" prenait la forme d'une entité concrète".
Le déroulement et l'enchaînement de ses actions s'étaient produits sans qu'il puisse rien faire pour peser sur les plateaux de la balance et les "coïncidences" avaient pris une troublante pesanteur dans son âme. Était-ce le hasard s'il était là avec ce vieux pasteur. Ce dernier n'en n'était nullement persuadé et Slosman commençait à se poser sérieusement la question. Avec le recul du temps, trente cinq années après, il s'aperçoit que l'expérience personnelle est un leurre, il a changé totalement de mode de vie trois fois, à son corps défendant, avant d'être amené à entreprendre ses travaux actuels, dans des conditions physiques presque insupportables, puisqu'il est invalide à 80% et ne peut se déplacer qu'assisté par une autre personne. Au moment où il décrit ces événements, cette course contre le temps lui apparaît mélodramatique, mais sa volonté dépasse le cadre de sa vie, poussant ses forces restantes vers l'accomplissement de ce qu'il a entrepris, avec une faible constitution physique dont il refuse de se préoccuper. Avant de parvenir à cette résolution, il a eu deux graves accidents, où le hasard peut difficilement être incriminé. L'un, en 1970, lui a valu 4 mois de coma pendant lesquels il était resté totalement paralysé, suivis de 22 mois d'hospitalisation, l'autre où il a été cliniquement déclaré mort, en 1956, ce qui lui a valu de rester près de trois ans alité. Si on ajoute à cela, qu'avant de partir au Cameroun, il a eu une vie hors du commun de 1942 à 1945, qui l'amena directement à la Gestapo de Dôle, pour y être torturé, puis sauvé de façon quasi-miraculeuse pour être transporté dans une clinique de Lausanne afin d'y reprendre une apparence humaine, la rétrospective commence alors à prendre forme. Elle reste pourtant très incomplète, puisqu'il dit que des passages bien plus affreux se sont produits, entrecoupés d'épisodes presque fabuleux tellement ils le portaient haut.
Maintenant nous allons remonter le fil du temps jusqu'en 1942 afin de commencer par le début et laisser le Cameroun arriver en son temps chronologique. C'est ce que nous allons faire et voir la suite dans l'article 2: Le destin s'écrit-il aussi? Nous poursuivrons ensuite avec les récits fabuleux sur la rencontre de Slosman avec l'âme Atlante et jusqu'à notre temps!
Je présente ce récit en introduction à mes réflexions sur "la grande hypothèse", car il a frappé mon imagination et m'a fait "entrer" dans le mythe lorsque j'avais lu "la grande hypothèse" en 1996, à un tournant de ma vie professionnelle. Cela m'a amené à méditer ma lecture de la Bible, en terminant par le livre de Job et l'Apocalypse selon Saint Jean. A un degré moindre, sans réelle comparaison avec ce qui est arrivé à Slosman, j'ai un AVC et j'ai dû subir quasiment en même temps une opération pour le cancer du colon en 2009. A cause de l'AVC, les chirurgiens ont longtemps hésité à faire l'opération ont certainement eu très peur. Je suis tout de même resté un mois à l'hôpital. Il est probable que je décrirai plus tard cet épisode de ma vie qui aurait pu mal tourner?
C'est peut-être pourquoi je rédige ce blog avec mes trois "topics" qui orientent ma réflexion depuis lors: les limites de la connaissance, les grands mythes de l'humanité, la spiritualité.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire